Sarah Conrod has worked at Cape Breton University for 20 years in a variety of project and research management roles, now as the Manager of Industry Partnerships and Commercialization in the Office of Research and Graduate Studies. In this role, she oversees CBUs research partnerships with small and medium-sized enterprises (SMEs) and assists faculty explore commercialization opportunities for their research. Sarah has a BSc from Cape Breton University, a Med IT from Memorial University of Newfoundland and a PMP designation. (Research Office website
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Que faisiez-vous avant de vous joindre au réseau Springboard?
Après mes études de premier cycle, je suis allée étudier le français à l’Université de Montréal avant d’accepter un poste de marketing international dans une société d’ingénierie. On y mettait beaucoup l’accent sur la recherche et le développement (R et D) ainsi que les nouvelles technologies à essor rapide. Je suppose que je ne le savais pas encore, mais c’était une excellente occasion de me préparer à l’aspect R et D dans l’industrie dans le cadre de mon poste actuel à CBU. J’ai ensuite eu la chance de revenir en Nouvelle-Écosse, où je me suis jointe à l’équipe de l’Université Cape Breton (CBU).
Mon premier rôle à CBU était au sein du département de l’innovation économique et technique. C’était avant Springboard, mais le mandat était le même que le mandat actuel de Springboard : aider les entreprises locales à accéder à l’expertise de l’université, principalement par le biais de projets de recherche appliquée. Ensuite, CBU a reçu une subvention du Fonds d’innovation de l’Atlantique (FIA) et j’ai fait la transition vers ce projet en tant que responsable de la commercialisation. Lorsque le FIA a pris fin, je suis devenue membre à plein temps de Springboard à CBU et je le suis toujours!
À quoi ressemble votre quotidien à CBU?
Puisque je suis la seule personne dans mon équipe, je suis occupée et mon quotidien est souvent imprévisible. Je travaille à la fois dans le domaine des partenariats et du transfert de la technologie, alors je dois souvent participer à des réunions avec le corps professoral et les entreprises, cerner et mettre en œuvre des projets de R et D, discuter avec des entreprises en démarrage et leur fournir des conseils, mettre au point et organiser des événements et des séances de formation, assister à des activités de réseautage et m’occuper de divers contrats, de questions de propriété intellectuelle et de la gestion de projets.
C’est beaucoup à gérer pour une seule personne!
En effet! Mais c’est ce que j’aime; c’est un emploi vraiment dynamique avec de nouveaux défis et des possibilités et j’ai l’occasion de jouer un rôle dans l’innovation en ayant une incidence positive sur les PME et de célébrer les réalisations sur le campus, dans la collectivité et dans la région du Canada atlantique en général. Nous ne travaillons pas seulement au sein de nos propres établissements et provinces; nous travaillons tous et toutes (l’ensemble du réseau SB) au sein du Canada atlantique.
Quelles possibilités entrevoyez-vous pour le développement économique ou l’innovation à CBU?
Bien que nous soyons un petit campus, nous avons vraiment diversifié et mobilisé le corps professoral et les chercheurs. Des professeurs de tous nos départements ont travaillé avec des partenaires externes.
Auparavant, je travaillais surtout avec nos départements de sciences et d’ingénierie, mais aujourd’hui, les partenariats externes et la R et D se sont étendus à de multiples disciplines dans toutes nos écoles et dans divers secteurs de la collectivité. Le réseau a vraiment bien réussi à faire connaître notre nom dans la région en démontrant comment les établissements d’enseignement supérieur apportent une aide utile et des résultats significatifs aux entreprises.
Je continue à être présente dans la collectivité et à rencontrer des entreprises. Je suis impatiente d’explorer leurs besoins précis et de mieux comprendre comment l’ampleur de notre expertise, nos ressources de laboratoire et notre engagement à nouer des partenariats de R et D peuvent leur apporter une aide utile et des résultats significatifs.
De quelle manière le réseau SB soutient-il votre rôle?
C’est une ressource formidable. En tant que membres, nous nous soutenons mutuellement de diverses manières, que ce soit en demandant de l’aide concernant une entente qui nous est peut-être nouvelle ou en travaillant avec des personnes d’un certain secteur ou d’une certaine industrie. Le bureau central nous offre également des occasions inestimables de nouer des liens avec de multiples secteurs et met à notre disposition une multitude de ressources et de programmes. Dans un petit bureau, il est utile de discuter avec des collègues d’autres établissements. Parfois, nous avons simplement besoin d’une « caisse de résonance » qui donne son avis sur la façon dont nous faisons quelque chose ou nous aide à réfléchir à une façon de faire ou à un problème. Au sein du réseau Springboard, il y a toujours quelqu’un qui saura nous aider à établir un lien.